Partage : extrait d’une histoire

 

J’avais envie de vous partager un peu de moi. De mon ancien moi, qui m’a amené à ce moi d’aujourd’hui.

Autrefois, j’écrivais…surtout des débuts de nouvelles. Je n’arrivais pas à les achever, tant il y avait une autre idée qui m’appelait. Et ce soir, je faisais du tri dans mes documents, et je suis tombée sur l’un de ces débuts…je m’excuse du style, cela remonte à plusieurs années.

Je souhaite que la lecture vous plaise malgré tout.

Belle soirée à tous

La nuit se déposait lentement sur la ville. Il y avait toujours ce dégradé de mauve, qui me donnait sans cesse l’impression que le jour charmait le soir. Du moins, cela me séduisait. Mes yeux reflétaient le coucher du soleil aussi sûrement qu’un miroir. Je n’avais plus conscience de ce qui m’entourait dans ces moments là, je me laissais planer quelques instants, avant de fermer les yeux et de les ouvrir sur ma réalité.

J’étais installée sur le toit du mausolée, le dos bombé, mes mains au même niveau que mes pieds, prête à sauter sur l’étranger qui oserait vouloir pénétrer en ce lieu sacré. Ma vue ne se limitait pas à la place faite de pavés en contrebas, et aux colonnes d’argent de cet édifice légendaire. J’avais à loisir la vue de ma libellule, une Mantra comme on les nommait. Un droïde tout de metal, reproduisant le vol de l’insecte et détenant une caméra dont les images me parvenaient directement à travers l’écran de mes lunettes opaques. J’actionnais cette fonction quand bon me semblait, et cela me permettait d’avoir une vue d’ensemble de la ville.

Trauma. Ville endormie. Depuis que Adve Noctis avait été enterré dans le mausolée dont j’avais la garde, les humains s’étaient peu à peu assoupis. Beaucoup disaient qu’ils rejoignaient le héros dans un autre monde, mais cette explication n’était pas suffisante. Elle signifiait que tous, petit à petit, finirions endormis. Je ne voulais pas de cela pour mon peuple ni pour moi-même. La ville allait à sa déchéance, de nombreuses tours, fulgurantes, s’érigeaient seules, inhabitées. Le sable, provenant d’au delà des remparts de la ville, s’amoncelait sur les routes qui n’étaient plus assez fréquentées pour que quelqu’un se préoccupe de les balayer. Même les droïdes conçus pour cela n’arrivaient plus à avancer, prit de court par tant de saletés. La majorité des humains considéraient qu’il ne servait plus à rien de se lever le matin, qu’ils rejoindraient cet état de somnolence…D’aucun ne voulaient se battre, sauf les Eveillés. Je faisais partie de ce groupe de survivants, qui n’étaient plus qu’une dizaine désormais. Nous cherchions à comprendre pourquoi tant de gens ne se réveillaient plus et aussi qui s’est endormi, où et quand.

Il s’avéra évident, que plus proche nous nous trouvions du mausolée, plus il y avait d’éveillés. C’était également la nuit que le drame se jouait. Ainsi les gens se couchaient et ne se levaient plus. Les gens devaient donc déjà s’endormir pour ne plus se réveiller, ce qui était une bonne chose pour éviter tout accident.

Nous avions prévu de pénétrer au sein du mausolée, comprendre ce qu’il s’y passe, mais l’unique personne en possédant les clefs ne s’était plus réveillée, et nous étions toujours en recherche de ces dernières.

Auteur: Ozalee – Farah Sahbi  – www.ozaleesens.com

Je suis avant tout une messagère et une inspiratrice qui souhaite qu’en chacun de vous s’éveille votre pouvoir créateur. J’utilise ainsi le langage des astres, celui des images, de l’ayurveda, des couleurs, des sons ou des mots (maux) afin de vous éclairer et que vous créiez votre réalité !

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Inspiration d’un instant

J’écoutais la musique que vous trouverez ci-après et le texte suivant m’a glissé entre les doigts…qui sait, peut-être cela pourrait-il faire partie d’un futur ouvrage?

« J’aime la pudeur du mouvement qui se dévoile et se découvre, j’aime la sensibilité de la femme qui ne danse pas mais se mouvoit avec une grâce telle que je ne peux que m’incliner. Qui suis-je pour vouloir la posséder, l’emprisonner, capturer son cœur et son âme. Qui suis-je pour ne pas m’incliner et lui proposer un toit dont elle n’a que faire. C’est dans cette finesse du chant, dans cette incantation de la danse que je la vois s’ouvrir, s’épanouir, m’ensorceler. Car la véritable magie réside dans ces regards qui ne me veulent rien, qui regardent vers le divin, en elles, et qui me l’offrent. Alors oui, elle offre à mes yeux la lumière, celle que je convoite depuis si longtemps. Mais je comprends que je n’ai pas besoin de la posséder, seulement de la contempler. Et c’est dans cette délicatesse, que mon cœur s’ouvre à la puissance et que je comprends que nous ne sommes pas séparés. Que je comprends qu’il suffit parfois d’un regard pour tomber en amour. De cet amour plein d’éclat qui ne demande rien, qui ne me veut rien. L’amour divin, en toi, en moi, en nous. »

Auteur: Ozalee – Farah Sahbi  – www.ozaleesens.com

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Méditation du Royaume Oublié

Une méditation qui m’a été inspirée. Je vous laisse la découvrir ( lien connexe: méditation nouvelle lune du 13/09/2015)

Méditation du Royaume Oublié

Installez-vous confortablement. Que cela soit assis ou couché, cela n’a pas d’importance.

Respirez amplement. De manière régulière. Ressentez le va et vient du souffle dans votre ventre, dans votre thorax. Ce mouvement vous amène petit à petit à fermer les yeux et vous laisser bercer.

Maintenant, je vais vous raconter une histoire. L’histoire du royaume oublié.

Ce royaume est composé de 5 mondes.

Le premier est le monde des idées, des croyances et des rêves.

Vous ressentez un air frais parcourir votre tête, mais également toutes vos articulations. Prenez le temps de passer en conscience sur chacune d’entre elles. Il y a les chevilles, les genoux, les hanches, les poignets, les coudes, et les épaules.

Une fois que votre passage est fait, laissez venir à vous une idée, une croyance ou un rêve.

Que provoque-t-elle en vous ? Que ressentez-vous corporellement ?

Le second est le monde des émotions, de l’imagination, des liens profonds.

Vous ressentez un air doux parcourir vos pieds, avant de remonter le long de vos jambes jusqu’à votre bas ventre et finir sa course au niveau de votre poitrine.

Une fois que sa douceur vous a englobé, laissez venir à vous une émotion sans la juger.

Que provoque-t-elle en vous ? Que ressentez-vous corporellement ?

Le troisième est le monde de l’affirmation de soi, de l’action et de la foi.

Vous ressentez un air chaud partir de sous vos pieds pour venir se lover dans vos cuisses. Vous ressentez la pulsation de vos muscles, leur état (reposés, tendus…). L’air chaud se glisse ensuite dans votre plexus solaire, au niveau de votre estomac. Que provoque cette chaleur à cet endroit-ci ? L’air chaud poursuit sa route pour arriver au niveau de votre tête. Vous avez conscience des pensées qui sont les vôtres, d’une forme d’agitation ou au contraire d’un calme serein.

Une fois que la chaleur s’est bien installée, laissez-vous glisser un peu plus dans votre corps. Amenez alors à votre conscience une action que vous voudriez mettre en place dans votre vie.

Que provoque-t-elle en vous ? Est-ce agréable ou désagréable ? Que ressentez-vous corporellement ?

Le quatrième est le monde de la communication, du relationnel et de la planification.

Vous ressentez un courant d’air frais au niveau de vos chevilles, vos mollets. Ce courant d’air parvient à vos reins, le haut de votre dos, vos bras et vos mains.

Respirez plus amplement et laisser venir à vous les projets que vous planifiez dans votre vie.

Que provoquent-t-ils en vous ? Est-ce de l’empressement ? Que ressentez-vous corporellement ? Y-t-il des tensions, une rupture dans votre respiration ?

Le cinquième monde est celui de la matérialisation, des limitations mais aussi du courage.

Vous ressentez un air plus dense venir se poser sur vos genoux. Ensuite il se retrouve dans le bas de votre dos, dans vos intestins et à la toute fin dans votre nuque.

Laissez-vous allez à cette impression de pesanteur. Elle est avant tout rassurante. Elle vous rappelle que vous n’êtes pas seul. Quand vous vous sentez déposés, laissez venir à vous un blocage qui vous empêche d’avancer dans votre vie.

Que provoque-t-il en vous ? Quelles sensations physiques sont les vôtres ?

Vous venez de parcourir le royaume oublié : votre corps. Vous venez de vous rappelez à lui à travers les sensations. Voyez la simplicité avec laquelle votre corps communique. Voyez comme cette simplicité n’a pas forcément été évidente à atteindre, car le rythme du monde a tendance à tout compliquer.

Souvenez-vous de parcourir le Royaume Oublié dès que vous en avez l’occasion. Pourquoi ? Afin qu’il devienne Où briller. Le Royaume qui va éclairer votre chemin afin de ne plus jamais vous sentir perdu.

P.S: aimeriez-vous cette méditation (et peut-être d’autres à venir) sous format audio ou même vidéo? N’hésitez pas à m’en faire part si tel est le cas 🙂

Auteur: Ozalee – Farah Sahbi  – www.ozaleesens.com

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Quoi de neuf?

La méditation de Nouvelle lune via Google Hangout c’est ce dimanche! Il reste encore quelques places de disponibles! Je souhaite m’inscrire

Un Recalibrage Stellaire se donnera le dimanche 27 septembre prochain! En savoir plus  (soin de groupe à distance sur don volontaire)

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L’amour en toute simplicité

ame_oldwishes-433497_960x362   Nous avons besoin d’amour. Nous avons besoin de nous sentir complet. Nous aspirons tous à cela, chacun à notre façon, chacun à notre manière. L’amour, ça ne se compare pas. L’amour ça se contemple et ça se vit. D’abord en soi, puis, parfois, pas toujours, pas d’obligation, avec l’autre. Cet amour-ci ne ressemble pas toujours à un conte de fée. Ça ne ressemble pas aux amours épiques que les films nous montrent sans cesse. L’amour, c’est souvent très simple, et ça devient compliqué dans le quotidien. Ça devient compliqué à partir du moment où la changement immuable, nous montre qu’il est temps d’avancer.

Mais comment avancer ensemble? Pourquoi convient-il de se dire oui à soi, faute de voir notre âme fermer ses ailes et l’aigreur nous corrompre, nous et l’amour que l’on porte?

Tout d’abord, il faut bien entendre que pour aimer, dans tout le sens du terme, il faut apprendre à s’aimer soi-même. Cela passe par différentes petites choses: 143

Se dire oui, c’est respecter ses besoins au delà du jugement des autres. En effet, notre corps nous ramène souvent à l’essentiel, à nos fondamentaux, alors pourquoi ne pas simplement l’écouter? Bien souvent, c’est car on n’a peur du qu’on dira-t-on, on a peur du jugement que les autres pourraient nous porter, on a peur, plus simplement, que l’autre ne nous aime plus. Mais vous? N’est-ce pas important de vous aimer? N’est-ce pas là l’une des clefs du bonheur? Quand on s’aime, peu importe l’extérieur, rien ne peut nous déraciner. Alors je vous le demande: vous commencez quand?

– Faire ce qu’on a envie. Cela est différent du besoin. Le besoin c’est de manger ce que notre corps réclame, aller dormir quand on sent que c’est notre heure, en un autre mot: respecter notre rythme. Et les envies? Et bien, c’est de faire les choses car on en a envie, et pas pour faire plaisir à un tel ou tel autre. C’est choisir la vie que l’on souhaite, dans les limites qui sont les nôtres, au lieu de suivre la tangente. En un mot comme dans cent, faire ce qu’on a envie, c’est se faire plaisir dans l’instant présent. Que faire quand on a envie de rien? Sincèrement? Et bien posez-vous, contemplez la nature. Arrêtez de faire pour seulement être. C’est ennuyeux? Alors c’est que vous avez envie d’autre chose? La réponse m’intéresse 😉 Dans l’absolu, se faire plaisir, c’est prendre soin de soi. Quand on prend soin de soi, on développe l’amour envers soi-même.

Prendre du temps pour soi. Bien souvent, on passe après les autres et les obligations de la vie. Beaucoup d’entre nous ont une liste phénoménales de choses à faire…vous êtes-vous prévus une plage pour vous? Bien souvent la réponse est non. Comme si prendre du temps pour soi est secondaire, et limite n’a pas besoin d’exister. Et bien si! Mettez le dans votre agenda si nécessaire, sans forcément prévoir quelque chose à faire, juste « Pour soi ». Dans ces instants là, laissez monter les envies, peu importe lesquelles, ou posez-vous à contempler la vie qui vous habite. C’est quelque chose d’essentiel pour connecter avec soi et se montrer à quel point on s’aime.

Il y a sans doute pleins d’autres façons de se montrer notre amour, et surtout de le ressentir. Mais j’ai eu l’envie de mettre en avant ces dernières, très simples d’accès.

Maintenant, je vais pouvoir en venir à l’amour à deux. L’autre est différent de nous, et en même temps si semblable. Il a besoin de s’aimer autant que nous de nous aimer, mais notre passé, notre vision de la vie peut parfois être différents. Alors comment s’y prendre pour continuer le chemin ensemble tout en se respectant?

1463022_239259119574079_1802343215_nCommuniquer. N’hésitez pas à dire vos besoins, vos envies à l’autre, simplement car les vôtres ne sont pas forcément les siens. Ne croyez pas que l’autre est là pour vous deviner, cela ne pourrait engendrer que frustration et déception. La vie est ainsi faite aujourd’hui, qu’il est bon de se poser avec l’autre, de l’écouter et être écouté en retour. Tout cela avec un mouvement bienveillant. Si l’autre ne vous écoute pas malgré vos tentatives de clarification, peut-être est-ce du au fait que vos valeurs ne sont pas les mêmes, et par conséquent votre direction de vie? Il est bon de se remettre en question dans la vie, autant que dans une relation, mais assurez-vous toujours que l’autre en fait autant, sinon le déséquilibre avec le temps peut créer des chemins différents.

Passer du temps de qualité ensemble. Prévoyez-vous des activités hors du quotidien de manière régulière en fonction de vos goûts respectifs. Le travail est tellement prenant, qu’il peut arriver qu’on oublie qu’on n’est pas que des colocataires, mais bel et bien des amoureux, des êtres liés ensemble par l’amour et non la raison. Dégagez-vous des moments où échanger, s’émerveiller de l’autre devient votre essentiel de l’instant. Pour que les choses se créent, il faut mettre du sien, donc n’attendez pas que cela vienne de l’autre, agissez et vous verrez.

Soutenez-vous. Il y a des moments où l’autre a besoin d’être écouté, sans que vous n’embarquiez juste après sur votre vie. Habituez-vous à laisser de la place à l’autre quand il en a besoin. Le soutien doit être total pour amener du réconfort. Celui là même qui fait que vous ne vous sentez pas seul face à l’adversité.

Donnez-vous de l’espace. Nous restons avant tout des âmes uniques. Il est donc essentiel de ne pas être toujours l’un sur l’autre pour que notre créativité trouve son champs d’expansion. Avoir chacun des moments à soi permet d’enrichir la relation et d’amener l’admiration de l’un envers l’autre.

Respectez-vous, respectez l’autre. c’est l’un des piliers. En se respectant soi, on respecte l’autre naturellement. Si votre partenaire ne fait pas attention à vous, s’il ne vous écoute pas ou ne cesse de vous rabaisser, posez-vous la question du respect envers vous-même…

Etre en couple n’est pas une obligation, c’est un choix…Vous avez toujours le choix au delà de toutes considérations de l’esprit. La liberté de l’âme n’a pas de prix, alors pourquoi lui en donner un?

Quoiqu’il en soit, je vous souhaite à tous de vous aimer, de trouver la plénitude de l’être et tout cela, avec simplicité.

© Ozalee

Recréation! Recréons ensemble si vous le voulez bien :) – sondage

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Tous droits réservés pour l’image

Je suis en pleine période de création, ou devrais-je dire de recréation 😉

En effet, en ce début d’année je redéfinis certains de mes services, dont celui de la clef en soi. Pour des raisons pratiques, je remodèle la clef qui vous est adressée, mais également le service en lui-même.

Pour la clef, vous voyez dans l’image de cet article que cela va ressembler davantage à un bracelet, utilisable également en tant que marque page. Le bracelet en lui-même sera de la couleur d’un des chakras (d’où la présence de ces derniers dans l’image) et il y aura une perle de couleur ainsi qu’une breloque (pourquoi pas un arbre de vie, ou autre chose en fonction de mon inspiration).

Le service la clef en soi vous permettra toujours d’être le héros de votre conte personnel, je suis juste entrain de repenser le procédé, afin de laisser encore plus de place à l’inspiration.

L’année 2015 sera une année inspirante, vous l’aurez compris, du moins c’est ce que je vise. Pour m’aider à planifier cette année et vous offrir des services répondant à vos besoins, je vous joints un sondage à remplir (cela ne prendra que quelques minutes).

Lien vers le formulaire

Je vous remercie de prendre le temps de le remplir.

A bientôt

Ozalee.

De quoi avez-vous peur?

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En ce jour du 31 octobre, j’avais le goût de partager avec vous les peurs que l’on peut chacun avoir dans son coin, sans pour autant le crier sur les toits. Je ne parle pas des peurs matérielles (peur d’être malade, de mourir, de manquer d’argent etc), ni même des peurs émotionnelles (d’abandon, de rupture etc) mais des peurs enfantines. Vous voyez où je veux en venir?

Je vais être totalement claire en parlant de mes peurs enfantines à moi. Quand j’étais enfant, je croyais en un monstre caché dans les ténèbres de sous le lit. Je croyais aussi que dans le noir se logeait des créatures sur lesquelles je n’avais pas envie de tomber, m’obligeant à courir jusqu’aux toilettes quand l’envie me prenait au milieu de la nuit.

Je ne sais pas pour vous, mais j’aime ces peurs. Aujourd’hui, j’ai réglé l’affaire des ténèbres sous le lit, en ayant un lit avec tiroirs (donc pas de place sous le lit pour les monstres ^^). Je dis ça en plaisantant, mais avec le recul je me rends compte, et cela n’implique que moi, que ces peurs devaient être justifiées. Au final, il existe des « choses » que l’on ne voit pas, et quand on est enfant on y est particulièrement sensible, notamment avant 7 ans (l’âge de raison)…Allez, je suis sûre que vous aussi vous avez vécu ce type d’expérience, à moins que ce ne soit avec un placard? Craquement du parquet? Autre?

En cette journée d’Halloween (saviez-vous qu’Halloween vient de la contraction de la phrase suivante: All hallows Eve signifiant le soir de tous les saints? ) j’avais envie de souligner ces peurs qui ne viennent pas que de notre imaginaire d’enfant. J’avais envie de souligner la danse entre la lumière et les ténèbres, entre les bonnes fées et les grand méchant loup.

Tout ça pour nous rappeler que ce qui compte c’est l’équilibre. Alors si vous avez des peurs, dîtes-vous qu’il y a autant d’amour en parallèle. A nous de fixer notre attention sur ce qui nous fait du bien. Personnellement, j’aime toujours avoir peur, j’aime toujours lire des histoires fantastiques, ou regarder des films du même genre…C’est ma façon avec d’exorciser mes peurs. Quelle est la vôtre? 🙂

 

Un bon Halloween à tous et toutes.

 

Ozalee.

Thérapie – A la recherche de la Terre happy

Chakra-photo

 

Je vous l’accorde, ce n’est pas mon meilleur jeu de mot! Mais n’est-ce pas ce que l’on recherche quand on va voir un thérapeute? Se sentir mieux, arriver dans un univers où nous nous sentons écoutés et vivre tel que nous l’aimerions.

Ne parlons-nous pas de bien être, ou encore de mieux être quand il s’agit d’un massage? Etre bien, être meilleur…Cela signifierait que nous ne le sommes pas à d’autres moments? Je parle avant tout de ce mot commun: ETRE. Est-ce un mot qui revient souvent dans votre quotidien? Avez-vous l’habitude, le réflexe, de dire: « je suis bien ». »je suis ici et maintenant ». « Je suis. » Car n’est-ce pas ça le plus important? Exister et s’arrêter dans cet état juste un instant, ou plus encore?

Nous avons en nous une sacrée dose d’agitation. Les pensées virevoltent, voltigent même parfois, nous empêchons de nous poser. Ce n’est pas pour rien que nous nous posons quand nous recevons un massage (par exemple). Mais certains me diront que même dans ces instants de calme, l’esprit arrive à continuer de courir. Vers où? J’ai le coeur à croire vers une terre heureuse. Un endroit où l’on s’ancre et où l’on est. A l’image d’un arbre qui, une fois planté, se met à pousser.

C’est ça que j’aimerai, en tant que thérapeute, prodiguer à mes clients. Leur permettre de déployer leurs branches et être dans leur entièreté. Pas que dans le pot que tous, à un moment ou à un autre nous nous sommes créés. Je crois que l’une de nos plus grandes forces réside dans notre capacité à émettre des intentions qui se réalisent. Alors aujourd’hui j’aimerai vous offrir un visualisation à faire n’importe quand, n’importe où, quand vous vous sentez perdus, trop dans vos pensées, et que vous voulez vous ancrer / planter ( et oui, après vous pousserez 😉 )

 

VISUALISATION DE L ARBRE RÊVÉ

 

(Fermer les yeux pour plus de facilité et si possible.)

Ressentez que vous êtes un arbre, votre arbre rêvé, celui que vous préférez.

Ressentez la puissance qui habite votre ventre. c’est une énergie circulaire qui part de votre nombril. Une énergie chaude, lumineuse qui ne fait que s’agrandir.

Cette énergie descend le long de vos jambes. Elle anime et densifie vos racines qui s’ancrent dans la terre mère.

Ressentez la force de la terre. Elle vous porte et vous nourrit. A tout moment vous pouvez l’appelez et elle vous soutiendra.

Vous êtes son enfant, vous êtes unique. Vous êtes un arbre rêvé.

Sentez-vous solide dans vos racines. Maintenant allez décrocher vos rêves.

Centrez-vous sur votre nombril, le coeur du monde. Laissez l’énergie faire son oeuvre. Elle monte au niveau de votre poitrine, le siège de votre ouverture du coeur.

Elle continue son chemin dans vos bras, vos branches. Elle poursuit son ascension dans votre gorge, siège de l’expression de l’arbre magnifique que vous êtes.

Elle parvient au troisième oeil, vous connectant à l’univers tout entier.

Enfin, l’énergie s’élève, ainsi que vos branches. Vos feuilles sont nombreuses, appelées par le ciel.

Ressentez l’énergie du ciel. Pleine de promesse, elle peut exaucer tous vos souhaits.

Vous vous sentez serein. Vous êtes un arbre unissant le ciel et la terre.

Vous êtes bien.

Vous êtes.

(Régénérez-vous, restez dans cet état final tant que vous le pouvez avant de retourner à votre journée. )

J’espère que cela vous a plu. Que cet outil vous sera utile.

Passez une belle journée 🙂

Ozalee

Texte et visualisation – tous droits réservés à Ozalee / Farah Sahbi

Le voyage de Ritavan – Oracle

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Je viens de le recevoir!

Le tant attendu oracle: le voyage de Ritavan.

Pourquoi tant attendu? Simplement car il va faire partie de mon fameux tirage: La Clef en Soi. 

Ce tirage, basé sur l’astrologie avant tout, va venir inclure plusieurs éléments pour une meilleure connaissance de vous même et ces cartes en font parties 🙂

J’ai choisi cet oracle en raison de mon intuition et de la beauté des images. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand aujourd’hui je feuillette le carnet accompagnant les cartes et que je constate que l’astrologie y est présente à sa façon! Il n’y a pas de hasard comme on dit, et j’ai hâte de le découvrir davantage afin de vous le présenter, et surtout mettre en place le Tirage la Clef en Soi 🙂

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Je vous partage ce qui est écrit sur la quatrième de couverture:

« Ritavan est un petit enfant bleu qui joue de la terre comme d’un instrument de musique. Il nous invite à un voyage extraordinaire et magique qui nous aidera à faire émerger de notre être profond notre note de musique juste et nous permettra ainsi de poursuivre le Chemin dans les meilleures conditions.

Suivant les circonstances de notre vie et les nécessités de notre évolution, nous voilà embarqués dans différents voyages: de découverte, de guérison, initiatiques ou encore voyages au pays des dons, chacun nous apportant la réponse dont nous avons besoin. »

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Alors? Avez-vous envie de voyager au cœur de vous-même afin d’en découvrir la clef?

Je vous en dirai plus au fil des semaines. Je vous prépare un service exclusif afin d’aller toujours plus loin dans la compréhension de votre moi profond.

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Photographie: Ozalee – Tous droits réservés

Pour être tenus informés, abonnez-vous au blog ou/et sur la page facebook: Ozalee – Ose aller

Début d’un cycle – création

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Cela faisait plusieurs jours que je marchais en vain. Mon regard observait les étoiles, reconnaissant chacune d’entre elles comme de fidèles compagnes. C’est que cela faisait plusieurs jours que je errais sans croiser âme qui vive. Il y avait bien les végétaux, rayonnant de lumière. Il y avait bien les cours d’eau qui remplissaient l’air d’un doux murmure. Mais rien qui me ressemblait à moi. Je cherchais un miroir, un être qui me renverrait mon existence en pleine face. Je n’avais droit qu’au silence de mes pas et au tintamarre de mes pensées. Trouver une solution. A quoi ? A ma solitude, à mon isolement.

Je croyais qu’en pleine nature, telle blanche neige, les animaux auraient accourus à moi, qu’ils se seraient donné joyeusement en pâture. Bien sûr que non. Je n’étais même pas certain d’être capable d’en tuer un de mes propres mains. Peut-être pêcher, mais quand vous ne l’avez jamais fait par vous-même, comment savoir ? Toute trace de civilisation avait disparue. Les villes étaient plongées sous la végétation. J’avais déniché une pierre taillée, bien affûtée afin de me protéger contre un quelconque prédateur. Pour le moment, je n’en avais vu aucun, à croire que ma carcasse ne les intéressait pas.

J’avais pourtant hurlé quand je m’étais réveillé. Hurler tel un loup afin que quelqu’un vienne me pêcher. Que quelqu’un me montre que j’existe. Mais rien. Le chaos. Je me souviens seulement de mon prénom car une gourmette orne mon poignet : Tristan. Mais j’ai beau fouillé mon esprit rien ne me revient. Aucun souvenir. Comme si je venais de naître là, au milieu d’une ville dont j’ai distingué le nom sur un panneau à moitié caché : Boston. J’ai préféré me retirer de la ville. Aucun des immeubles délabrés ne me donnaient envie.

L’unique chose qui me faisait marcher était l’espoir de ne pas être seul. L’espoir de retourner à la source. Comprendre, ne plus se sentir seul dans ma tête. C’est ça que je ressens. Ça vous est déjà arrivé à vous ? De vous sentir seul dans votre tête ? Que vos souvenirs, car vous vous en avez, vous paraissaient de frêles reflets d’une réalité ? Si oui, vous savez ce que je ressens à marcher pieds nus dans l’herbe. Je sais – j’espère – que ce n’est qu’une passade. Qu’un moment. J’aimerai tant retrouver les miens. Car j’appartiens à cette source, tout comme tout un chacun, n’est-ce pas ? J’aimerai donner du sens à mon existence. Maintenant que j’ai touché la terre où je marche, goûter à ses fruits, j’aimerai m’ouvrir aux autres. Apprendre par l’expérience, communiquer et qui sait fonder une famille ? Je suis au début de mon évolution…

Avez-vous envie d’en connaître la suite ?

Ozalee – Farah Sahbi

 

TOUS DROITS RÉSERVÉS. Merci de mettre la source quand vous partagez 

https://alchimiedesmots.wordpress.com/2014/08/08/le-soleil-nous-sourit/

Ceci est une création personnelle (pour le texte) Image internet.