Oser en conscience

 Joséphine Wall – Peinture

Les consciences s’éveillent. Mieux encore, elles sont éveillées. Je peux le constater avec joie lors de mes consultations. Pourtant, un doute semble subsister. Un doute non pas sur la véracité de ce que vous savez, au plus profond de vous, mais bel et bien sur le comment ? Comment oser ? Comment moi, goutte dans l’océan, puis-je me manifester, prendre ma place, m’affirmer ? Justement car vous êtes une goutte dans l’océan et que vous êtes connectés à toutes les autres gouttes, et encore mieux à l’océan. Votre action peut amener un tsunami dans une autre partie du monde sans que vous en ayez conscience en présence…et pourtant en conscience (oserai-je dire absolue) vous savez que le mot insignifiant n’a pas de place. Ce que vous entreprenez n’est pas insignifiant, il est créateur.

Je vous entends déjà à vouloir des explications sur le « comment ». Il y a plusieurs chemins pour ça. Mais le plus simple, et le plus infaillible à mon sens c’est « de commencer ». Pour obtenir une maison, il a bien fallu une première pierre. Pour une forêt, le premier arbre. Pensez-vous que cette pierre, ou cet arbre avait conscience qu’il ferait partie d’un tout plus grand que lui ? Pensez-vous que l’un ou l’autre se questionnait sur le « comment » ? Il était, simplement, vibrant avec l’énergie du moment, les branches de l’arbre se dirigeant vers le soleil, tandis que les racines s’ancraient toujours un peu plus.

Alors je vous inviterai à faire de même. Ancrez-vous, prenez conscience de votre singularité, que vos racines ne sont pas celles du voisin, et pourtant que lui comme vous allez vers le même soleil. Simplement avec vos racines, votre chemin ne sera pas le même que le sien.

Qu’est-ce que le soleil ? La lumière ? C’est cette action que vous sentez au fond de vous devoir entreprendre. Cette autre action que vous avez toujours reportée car vos peurs remportaient la partie. Cette autre action encore, qui vous paraît si insignifiante (encore ce mot) que vous n’y avez même pas pensé vous-même (l’univers est bien fait, ils vous envoient du monde pour vous amener des idées…). Je suis certaine que vous avez tous quelque chose qui fait vibrer votre cœur, et que votre mental juge d’inapte pour la société : aimer peindre…ce n’est pas un métier, on ne peut en vivre etc…

Pourtant, rappelez-vous le « premier comment » : commencer. Vivre de sa passion du jour au lendemain est sans doute difficile (mais pas impossible), mais y allez progressivement, en parallèle à un autre métier, c’est une toute autre histoire. Ne vous limitez pas, croyez en vos capacités, croyez en votre potentiel créateur. Je vous le dis, quand on donne de l’espace à quelque chose, il peut se concrétiser, devenir palpable et faire partie de votre quotidien. Donnez vous la chance d’avancer dans ce qui vous tient à cœur, dans ce qui vous permet de manifester votre Moi originel.

La petite voix (comme on dit) est « petite » simplement quand on est trop loin d’elle pour l’entendre distinctement, ou encore car il y a trop de bruits, de pensées, qui parasitent la connexion. Donnez lui de l’espace à cette voix, donnez-vous de l’espace et du leste, afin que de petite, elle devienne simplement votre voie.

Je vous offre du courage pour surmonter vos peurs, mais surtout beaucoup d’amour pour briser vos chaînes et oser.

Avec douceur,

Auteur: Ozalee – Farah Sahbi  – www.ozaleesens.com

Je suis avant tout une messagère et une inspiratrice qui souhaite qu’en chacun de vous s’éveille votre pouvoir créateur. J’utilise ainsi le langage des astres, celui des images, de l’ayurveda, des couleurs, des sons ou des mots (maux) afin de vous éclairer et que vous créiez votre réalité !

Comprendre vos peurs et dépasser vos blocages est l’une des clefs pour mettre en lumière votre plein potentiel et ouvrir votre champ des possibles ! Je vous propose de vous y accompagner que cela soit en réel ou en virtuel.

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Druidisme ou chamanisme?

 

J’avais envie de vous partager un article très bien écrit par des cocréateurs: Jean-Baptiste Le Cocq & Anaïs Theyskens

Cet article parle du druidisme et du chamanisme avec des termes simples et clairs.

Je vous laisse le découvrir par vous-même. 🙂

Druidisme ou chamanisme?

Je remarque que par ma pratique de l’astrologie et de la polarité, mes soins en général pourraient s’approcher du druidisme…Toutefois, grâce à l’ayurveda, je m’en vais chercher la terre, l’ancrage…Tout ça pour dire que je comprends mieux grâce à cet article pourquoi les deux m’ont toujours attirés, et que dans l’absolu, tout est déjà en nous, en quelque sorte…(oui je serai – peut-être – plus claire à ce sujet dans un futur article 😉 )

Bonne lecture.

 

Ozalee.

 

La nouvelle lune du 18/02/2015 – article

Je vous souhaite une très belle nouvelle lune.

Je vous partage mon article à ce sujet:

Nouvelle lune

Ozalee

L’amour en toute simplicité

  Nous avons besoin d’amour. Nous avons besoin de nous sentir complet. Nous aspirons tous à cela, chacun à notre façon, chacun à notre manière. L’amour, ça ne se compare pas. L’amour ça se contemple et ça se vit. D’abord en soi, puis, parfois, pas toujours, pas d’obligation, avec l’autre. Cet amour-ci ne ressemble pas toujours à un conte de fée. Ça ne ressemble pas aux amours épiques que les films nous montrent sans cesse. L’amour, c’est souvent très simple, et ça devient compliqué dans le quotidien. Ça devient compliqué à partir du moment où la changement immuable, nous montre qu’il est temps d’avancer.

Mais comment avancer ensemble? Pourquoi convient-il de se dire oui à soi, faute de voir notre âme fermer ses ailes et l’aigreur nous corrompre, nous et l’amour que l’on porte?

Tout d’abord, il faut bien entendre que pour aimer, dans tout le sens du terme, il faut apprendre à s’aimer soi-même. Cela passe par différentes petites choses:

– Se dire oui, c’est respecter ses besoins au delà du jugement des autres. En effet, notre corps nous ramène souvent à l’essentiel, à nos fondamentaux, alors pourquoi ne pas simplement l’écouter? Bien souvent, c’est car on n’a peur du qu’on dira-t-on, on a peur du jugement que les autres pourraient nous porter, on a peur, plus simplement, que l’autre ne nous aime plus. Mais vous? N’est-ce pas important de vous aimer? N’est-ce pas là l’une des clefs du bonheur? Quand on s’aime, peu importe l’extérieur, rien ne peut nous déraciner. Alors je vous le demande: vous commencez quand?

– Faire ce qu’on a envie. Cela est différent du besoin. Le besoin c’est de manger ce que notre corps réclame, aller dormir quand on sent que c’est notre heure, en un autre mot: respecter notre rythme. Et les envies? Et bien, c’est de faire les choses car on en a envie, et pas pour faire plaisir à un tel ou tel autre. C’est choisir la vie que l’on souhaite, dans les limites qui sont les nôtres, au lieu de suivre la tangente. En un mot comme dans cent, faire ce qu’on a envie, c’est se faire plaisir dans l’instant présent. Que faire quand on a envie de rien? Sincèrement? Et bien posez-vous, contemplez la nature. Arrêtez de faire pour seulement être. C’est ennuyeux? Alors c’est que vous avez envie d’autre chose? La réponse m’intéresse 😉 Dans l’absolu, se faire plaisir, c’est prendre soin de soi. Quand on prend soin de soi, on développe l’amour envers soi-même.

–Prendre du temps pour soi. Bien souvent, on passe après les autres et les obligations de la vie. Beaucoup d’entre nous ont une liste phénoménales de choses à faire…vous êtes-vous prévus une plage pour vous? Bien souvent la réponse est non. Comme si prendre du temps pour soi est secondaire, et limite n’a pas besoin d’exister. Et bien si! Mettez le dans votre agenda si nécessaire, sans forcément prévoir quelque chose à faire, juste « Pour soi ». Dans ces instants là, laissez monter les envies, peu importe lesquelles, ou posez-vous à contempler la vie qui vous habite. C’est quelque chose d’essentiel pour connecter avec soi et se montrer à quel point on s’aime.

Il y a sans doute pleins d’autres façons de se montrer notre amour, et surtout de le ressentir. Mais j’ai eu l’envie de mettre en avant ces dernières, très simples d’accès.

Maintenant, je vais pouvoir en venir à l’amour à deux. L’autre est différent de nous, et en même temps si semblable. Il a besoin de s’aimer autant que nous de nous aimer, mais notre passé, notre vision de la vie peut parfois être différents. Alors comment s’y prendre pour continuer le chemin ensemble tout en se respectant?

– Communiquer. N’hésitez pas à dire vos besoins, vos envies à l’autre, simplement car les vôtres ne sont pas forcément les siens. Ne croyez pas que l’autre est là pour vous deviner, cela ne pourrait engendrer que frustration et déception. La vie est ainsi faite aujourd’hui, qu’il est bon de se poser avec l’autre, de l’écouter et être écouté en retour. Tout cela avec un mouvement bienveillant. Si l’autre ne vous écoute pas malgré vos tentatives de clarification, peut-être est-ce du au fait que vos valeurs ne sont pas les mêmes, et par conséquent votre direction de vie? Il est bon de se remettre en question dans la vie, autant que dans une relation, mais assurez-vous toujours que l’autre en fait autant, sinon le déséquilibre avec le temps peut créer des chemins différents.

– Passer du temps de qualité ensemble. Prévoyez-vous des activités hors du quotidien de manière régulière en fonction de vos goûts respectifs. Le travail est tellement prenant, qu’il peut arriver qu’on oublie qu’on n’est pas que des colocataires, mais bel et bien des amoureux, des êtres liés ensemble par l’amour et non la raison. Dégagez-vous des moments où échanger, s’émerveiller de l’autre devient votre essentiel de l’instant. Pour que les choses se créent, il faut mettre du sien, donc n’attendez pas que cela vienne de l’autre, agissez et vous verrez.

– Soutenez-vous. Il y a des moments où l’autre a besoin d’être écouté, sans que vous n’embarquiez juste après sur votre vie. Habituez-vous à laisser de la place à l’autre quand il en a besoin. Le soutien doit être total pour amener du réconfort. Celui là même qui fait que vous ne vous sentez pas seul face à l’adversité.

– Donnez-vous de l’espace. Nous restons avant tout des âmes uniques. Il est donc essentiel de ne pas être toujours l’un sur l’autre pour que notre créativité trouve son champs d’expansion. Avoir chacun des moments à soi permet d’enrichir la relation et d’amener l’admiration de l’un envers l’autre.

– Respectez-vous, respectez l’autre. c’est l’un des piliers. En se respectant soi, on respecte l’autre naturellement. Si votre partenaire ne fait pas attention à vous, s’il ne vous écoute pas ou ne cesse de vous rabaisser, posez-vous la question du respect envers vous-même…

Etre en couple n’est pas une obligation, c’est un choix…Vous avez toujours le choix au delà de toutes considérations de l’esprit. La liberté de l’âme n’a pas de prix, alors pourquoi lui en donner un?

Quoiqu’il en soit, je vous souhaite à tous de vous aimer, de trouver la plénitude de l’être et tout cela, avec simplicité.

© Ozalee

Sagesse personnelle

Ce mot est empreint de grandeur et de sérénité. Il nous attire, comme le papillon vers la lumière. On emprunte parfois différentes voies en vue de la rencontrer, la frôler, lui jaser. Mais qu’en est-il de la garder ? En vérité, elle est déjà présente en nous, attendant de pouvoir éclore, au bon moment, au bon endroit, sous la bonne fréquence. Mais d’ici là, elle nous cajole quand on en a besoin, elle nous nourrit, nous abreuve, veille sur nous. La sagesse est comme une mère…sauf qu’elle est intemporelle. Sauf qu’elle est en nous, je vous le redis.

La recherchez-vous ? Peut-être pas sous cette forme, sous cette appellation. Alors je peux vous parler d’alignement. Chercher à trouver sa propre fréquence, et à la maintenir.

Je peux également vous parler du zen en soi, de la force tranquille, de cet état de lâcher prise, de calme bienheureux. Les mots n’ont pas d’importance pour notre être, simplement car tel une flamme, il s’élève, parfois virevolte, mais recherche cette unicité, cette direction, cet équilibre. C’est un état naturel que les péripéties (les courants d’air) malmènent. Où en êtes-vous dans votre quête personnelle ?

Car il s’agit de cela n’est-ce pas, en ce moment ? Si je vous pose la question à chacun d’entre vous, sans doute aurais-je des réponses différentes. Et pourtant, ces réponses viseront toutes un mieux être. Et si la clef était universelle ? Si au final, tout convergeait dans un seul sens, et que par conséquent il n’existait qu’une chose qui puisse réellement nous aider ? Bien sûr, cela revêtirait une forme différente pour chacun, car nous sommes un dans un tout, et un tout en un (vous me suivez?)

Tout d’abord, il y a une chose à savoir pour trouver son alignement, cette fameuse clef en nous : s’aimer. Franchement, sans jugement, sans idées arrêtées, sans souvenirs du passé. S’aimer ici et maintenant. Pas un amour de l’esprit qui analyse, décortique, compare (surtout pas). Un amour qui vient du cœur, qui émerveille…Observez les enfants, les oiseaux et même le cycle des saisons. Observez la simplicité de la vie, et en même temps toute sa densité. Ne trouvez-vous pas ça beau ? Formidable même (m’aime) ??

C’est là que se précipite le mental pour vous rappeler que votre vie ne correspond pas à :

a – aux valeurs de la société ( j’ai envie de vivre de ma passion, mais on (la société) me dit que ce n’est pas possible)

b – aux voisins, amis etc ( ils ont déjà une maison, ils ont un meilleur salaire etc)

c – aux attentes de vos parents ( tu dois être ceci, cela…)

d – à vos propres attentes fomentées par les trois points précédents

Il peut y avoir un petit « e » également. Ceux d’entre vous dont le cœur s’exprime suivi d’un « mais ». Le cœur a un cri : je n’ai pas ces attentes là, je veux juste être ! M’exprimer librement ! Mais (le mental qui embraye) « j’ai peur ».

Dans n’importe quelle catégorie, vous n’arrivez pas à vous aimer totalement car il y a ce manque, réel ou non, ou cette peur fondée ou non.

Alors il convient de vous écouter, entendre votre cœur pour ceux qui ne peuvent s’empêcher de se comparer aux normes ou aux autres. Ce n’est pas car vous êtes différents que l’on vous rejettera. Par contre, se rejeter soi-même est le meilleur chemin pour souffrir. Ne croyez pas que les autres ont plus de réponses que vous, rappelez-vous que nous avons tous un cœur, et il bat de la même façon. La différence, c’est notre écoute à son égard. Faîtes moins de bruit, courrez moins dans tous les sens, et là vous pourrez laisser émerger son amour, votre amour envers vous-même.

Pour ceux entendant leur cœur, mais ayant toujours la peur qui les restreigne, je ne peux que vous inviter à vous poser, à respirer. Ressentez où se situe cette peur dans votre corps. Laissez monter une couleur, un souvenir qui pourrait être associé. Comprendre, dans votre infinie sagesse (et oui) d’où elle provient. Une peur peut être apparentée autant à une protection, qu’à une prison. Ressentez ce qu’il en est pour vous aujourd’hui avec cette peur. Dans l’un ou l’autre cas, observez s’il y a une porte ou une fenêtre qui est apparue. Observez s’il y a une serrure et où se trouve la clef. Il n’y a personne à part vous-même pour vous libérer. D’autres peuvent vous apporter des messages sous forme de discussion, juste un mot qui résonne à cet instant précis en vous etc, mais gardez toujours à l’esprit que vous êtes le maître à bord. Quand vous sentirez que c’est le moment, parfois en entamant des actions qui vous paraissent anodines, vous sortirez de votre peur et vous vous aimerez pleinement, peu importe quoi, qui, quand.

Ce message est là pour vous encourager à trouver les solutions en vous. Les autres et le monde sont là pour vous permettre d’entendre, d’expérimenter (dans le sens vivre des expériences), de croire…Mais toute décision doit provenir de vous, de votre sagesse personnelle. A partir de cette dernière, tout devient possible.

Avec douceur

Auteur: Ozalee – Farah Sahbi  – www.ozaleesens.com

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Le prochain Recalibrage Stellaire (soin de groupe à distance sur don volontaire) aura lieu le samedi 07 novembre prochain – en savoir plus   

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