Complétude – la danse du féminin et du masculin

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On nous parle souvent de masculin et de féminin sacrés. Ces mots sont devenus singuliers tant ils sont devenus courants. Pourtant, qui comprend à l’intérieur de soi ce qu’est l’un et ce qu’est l’autre. Qui comprend qu’ici on ne parle pas d’égalité mais de complémentarité ? Bienvenue dans votre complétude.

tumblr_static_3mzp6528ki68k08csc8sgows0Tout du moins, c’est là que nous désirons que vous vous rendiez. Au cœur de votre féminin pour en ressentir les nuances de gris, de rose, de bleuté. Que vous ressentez votre douceur, vos besoins, vos désirs, vos soupirs et cette infinie tendresse que vous avez pour le monde et que le monde a pour vous. Dessinez en les contours, non pas pour les emprisonner, mais bel et bien pour vous les approprier. Tout cela est à vous, tout cela est vous. Mais vous êtes plus encore (en cœur).

Rendez-vous maintenant au cœur de votre masculin. Découvrez le doré, le rosé ainsi que ses nuances de vert émeraude. Comprenez que ce qui est brut n’est pas forcément dur et que ce qui est souple n’est pas forcément faible. Touchez à votre force rayonnante qui ne demande qu’à s’exprimer dans votre quotidien non pas par des excès, qui vous apparaissent comme des accès, mais par une bienveillance assurée qui ne connaît ni peur ni regret. Goûtez à votre arôme sucré, ne rejetez plus cette part de vous qui vous permet d’ancrer ce que le féminin vous inspire.

Reconnaissez également les fruits que votre féminin vous offre à longueur de temps. Permettez-vous de vous arrêter et de l’écouter. Laissez s’écouler de vous l’étincelle de création qui ira s’imprimer grâce à votre masculin. Les choses ne sont pas toutes noires ou toutes roses, nous vous le disons. Les choses sont vouées à se nuancer et à créer bien plus qu’un arc en ciel, un jour vous saurez. N’essayez pas de les distancer, de les limiter. Chacun a sa place, mais cela ne veut pas dire qu’ils n’ont aucun lien, qu’ils ne suivent pas le même but : votre complétude.

1_20101117_180417Nous vous le disons, en vous, vous êtes complet. Vous possédez l’esprit et la matière, l’illumination et l’abandon. N’essayez pas de mettre un nom sur tout, mais n’oubliez pas de vous écouter en tout et à chaque instant. Ne soyez pas trop centrés sur l’un, tandis que l’autre rêvasse. Soyez alignés sur votre fréquence et n’hésitez pas à vous éloigner de la cohue si vous en ressentez le besoin. Voyez votre féminin et votre masculin comme deux enfants qu’il convient de nourrir abondamment et de manière constante. N’en négligez aucun des deux. Rappelez-vous, vous êtes complets. Quand l’un des deux vous parle, écoutez le, et si l’autre veut à son tour la parole, prenez bien garde à ne la lui offrir que lorsque l’autre aura fini de parler. Du respect, encore et toujours du respect. Respectez votre masculin autant que votre féminin, c’est la clef pour être aligné avec vous-même, et ainsi vous respecter.

Vous êtes lumières, au delà du possible. Et à l’image d’une bougie, vous n’obtenez la cire que si la mèche brûle.

Dansez maintenant.

© Ozalee

 

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Méditation de Nouvelle Lune

A chaque nouvelle lune, c’est un nouveau cycle qui commence. C’est alors une période propice pour entrer en soi-même afin de nourrir nos intentions les plus profondes.

Pour en savoir plus, cliquez sur l’image

Vaillance de l’Etre

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Trouver son identité envers et contre tout. C’est une quête à laquelle chacun participe tôt ou tard. C’est une quête essentielle pour cette année 2015. Être soi et non pas le voisin. Être soi et ne plus rentrer dans les moules…

Il est humain de se comparer. Qui n’a jamais pensé que l’herbe du voisin était plus verte que la sienne ? D’autant plus quand le voisin pratique la même profession, ou les mêmes études ? Qui ne s’est pas rabaissé en se comparant à un tel ou à tel autre ? Cette différenciation entre soi et les autres est nécessaire pour trouver sa propre identité, mais elle devient toxique quand elle ne dessert plus l’être, mais au contraire le malmène.

Nous sommes tous connectés. Je suis vous et vous êtes moi. Aussi improbable que cela puisse paraître c’est une vérité à laquelle on ne réchappera pas. Au delà de ça, cela signifie que nous avons tous quelque chose à offrir aux autres. Nous avons tous une étincelle qui permettra le feu d’artifice. Si bien entendu nous nous permettons de l’allumer.

Où en êtes-vous face à ça actuellement ? Avez-vous allumé votre chandelle, ou attendez-vous de vous faire éclairer par votre voisin, votre conjoint, votre ami ?

Dernièrement j’ai ressenti à quel point être différent ne signifie pas être moins bien. J’apprends à apprivoiser mon mental qui aimerait aller toujours plus vite, toujours plus haut alors même que mon rythme de croisière est plus calme et serein. J’ai essayé – je l’avoue – d’avoir ce rythme intrépide que nous donne à manger notre société…et bien vous savez quoi ? Rien ne fonctionnait. Au point que mon propre corps s’est rebellé jusqu’à ce que je calme mon rythme, que je cesse d’avoir des pensées qui viennent embrouiller ma connexion.

Cela n’a pas été évident, imaginez-vous sans penser, sans planifier, sans prévoir…certains le font peut-être naturellement, et vous avez toute mon admiration ; mais personnellement c’est la confrontation avec l’extérieur, avec les autres qui courent dans tous les sens, qui m’a amené à adopter un rythme qui n’était pas le mien. Suite à ça, j’ai su me réaligner sur ma fréquence.

Maintenant, je peux dire « oui » je vais tranquillement sur mon chemin, « oui » je ne répondrai pas à toutes les attentes que les autres ont (ou que je pense qu’ils ont) envers moi. Et je suis correcte avec ça. Ça fait un bien fou. C’est comme désenclencher une horloge qui s’était emballée.

ixchelOn pense souvent à tort que nous nous devons de combattre pour obtenir ce que l’on souhaite. On en oublie bien souvent que la vie pourvoit à nos besoins et qu’il y a d’autres chemins que le combat. Oui, nous nous devons de combattre nos peurs, de mener cette lutte intérieure, mais nous avons aussi le droit, la permission de croire pour que les choses se créent. Ce n’est pas car les autres continuent de combattre, de faire des pieds et des mains que nous nous devons de les mimer, taisant les murmures de notre cœur qui tente de nous ramener à lui.

Il est facile de se laisser emporter par un courant. Il est plus difficile de retrouver la terre ferme. Il y a un flot constant dans le monde occidental dans lequel nous vivons qui fait que nous ne nous écoutons plus. Nous pensons qu’il faut faire telle ou telle chose car tout le monde le fait. Par dessus ça, on en ajoute une couche en se disant que si on ne fait pas ces choses, on n’y arrivera pas (la peur). Et à partir de là, sans foi ni loi, on court pour ne pas se faire attraper par cette peur, et non plus pour Être en toute simplicité.

Quand vous menez une action, demandez-vous pourquoi vous la faite. Est-ce pour répondre à une attente extérieure à vous ? Est-ce pour répondre à cette attente car si vous ne le faîtes pas il y aura telle ou telle conséquence (et là maintes excuses qui sont en résonance à des peurs) ? Ou est-ce car vous le sentez (sans forcément savoir le pourquoi du comment). Je trouve ça essentiel quand on désire être connecté à soi-même. Quand on souhaite plus que tout trouver une plénitude dans le tumulte du quotidien.

Alors oui, vous serez peut-être jugés, les gens ont toujours une opinion sur tout souvenez-vous en. Mais le principal est d’être qui vous êtes vraiment, pas qui on aimerait que vous soyez. Nous n’avons plus à rentrer dans des moules, nous n’avons plus à nous censurer nous-même car notre meilleur ennemi est bien notre propre jugement. Nous n’avons pas à faire ça au détriment de notre chemin.

La vaillance de l’être c’est avoir le courage d’Être, sans jugement, en toute liberté et impunité. Ce mois de janvier nous pousse à cela : prendre soin de nous, prendre le chemin le plus simple, le plus dépouillé.

Le but? Ne plus se mentir et commencer l’année en toute sincérité.

© Ozalee

Ballare – musique

Parfois, la musique apaise les mœurs

Parfois, la musique apaise les cœurs

Parfois, danser au rythme de la vie vaut plus que tous les mots

Une belle découverte musicale grâce au cirque du soleil. Je vous laisse écouter.

Ozalee

 

Une autre Réalité

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Elena Kalis – photographe

Il y a un goût d’amertume, de pardon, de consternation qui coule dans l’air. Il y a les ténèbres qui embrasent et les lumières qui trépignent. Devons-nous nous laisser aller aux angoisses, aux frayeurs, à ce monde plein de noirceur ? Devons-nous accorder de l’importance aux ombres, ou à la lumière qui permet leur existence ?

Dans cette autre réalité, les chandelles s’allument et clament haut et loin leur chaleur. Dans cette autre réalité, les cœurs s’unissent non pas contre le mal, mais bien par l’amour. La compassion, le soutien, la solidarité sont des mots qui font vibrer nos cœurs et pleurer nos âmes. Laisser couler ces perles d’amour qui viennent nourrir la terre d’une énergie de vie. N’est-ce pas tout ce qu’on peut faire maintenant ou demain ? N’est-ce pas cet amour inconditionnel qui vient toucher l’âme et qui font se rappeler à l’homme qu’il n’est pas seul ?

Plus il y aura de la lumière sur cette terre, plus les ténèbres seront nombreuses. C’est une question de polarité, une question d’anti-attraction. C’est comme une attaque finale pour emporter le plus de monde dans le gouffre. C’est comme un super méchant qui sort l’arme ultime pour essayer, dans un dernier souffle, d’emporter le monde entier dans sa chute. Rappelez-vous que toute action qui vient faire vibrer la terre possède une énergie semblable d’une lumière éclatante. Rappelez-vous que vous avez vécu autant de moments de joie que de moments de peine.

Mais dans cette autre réalité, les choses peuvent aller autrement. Cette réalité, vous pouvez la toucher du doigt dans vos rêves. Vous pouvez l’entrevoir dans le sourire d’un passant, ou dans celui que vous offrez chaque matin à votre réveil. Nos actions lumineuses, aussi futiles semblent-elles être pour le monde extérieur (extérieur à soi) peut apporter un changement si chacun fait sa part.

Je vous partage le conte du colibri, que m’a partagé une certaine parcelles de lumière. (cliquez sur l’image pour pouvoir le lire)

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elena kalis photographe Le tout est de se montrer responsable. Responsable de ses actions et de ses non actions (qui est une action en tant que telle), responsable de nos pensées, de nos actes manqués de tout ce que nous émettons. Ce n’est pas la faute du changement qui s’est immiscé dans votre vie et qui a bousculé votre emploi du temps, ce n’est pas la faute de votre ami qui n’est pas capable de faire telle ou telle chose, vous obligeant à changer votre emploi du temps pour l’aider. Ce qui est immuable, c’est le changement. La vie est un cycle, souvenez-vous en, un cycle qui demande adaptation, ajustement, et transformation.

 

Pour cette année 2015 qui s’amorce, je vous le demande, voulez-vous d’une autre réalité ? Nous ne parlons pas de rêves tout éveillés, nous ne parlons pas de berceuses pour rassurer les enfants. Nous parlons d’un quotidien réel qui correspond à vos aspirations profondes. Nous parlons d’un monde où la lumière se fera persécuter par les ténèbres mais qui ne se laissera pas grignoter par elles. Nous parlons d’une réalité faîte de ce qu’il y a de meilleur en chacun et qui nous permettra d’avancer main dans la main, sans se préoccuper de demain.

Cette autre réalité, elle est à portée de main. Prendre conscience de l’impact que l’on peut avoir dans le monde, seul ou à plusieurs, voilà qui importe en ce moment où beaucoup doutent. On peut décider de voir une forêt totalement dévastée, ou bien percevoir au delà du visible, au profond de la terre, les germes qui sont prêtes à prendre la relève. Vous me parlez d’espoir, là où je parlerai de cycle, de transformation et qui sait de transmutation ?

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Cette autre réalité n’est pas si illusoire. Notre âme, notre amour n’est pas si illusoire. Il y aura toujours ceux qui préfèrent croire le magicien, plutôt que la magie. Et pourtant là où l’âme agit il n’y a aucun spectacle, seulement peut-être un miracle…(mirare = voir, on ne serait alors plus aveugle…)

 

© Ozalee

Recréation! Recréons ensemble si vous le voulez bien :) – sondage

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Tous droits réservés pour l’image

Je suis en pleine période de création, ou devrais-je dire de recréation 😉

En effet, en ce début d’année je redéfinis certains de mes services, dont celui de la clef en soi. Pour des raisons pratiques, je remodèle la clef qui vous est adressée, mais également le service en lui-même.

Pour la clef, vous voyez dans l’image de cet article que cela va ressembler davantage à un bracelet, utilisable également en tant que marque page. Le bracelet en lui-même sera de la couleur d’un des chakras (d’où la présence de ces derniers dans l’image) et il y aura une perle de couleur ainsi qu’une breloque (pourquoi pas un arbre de vie, ou autre chose en fonction de mon inspiration).

Le service la clef en soi vous permettra toujours d’être le héros de votre conte personnel, je suis juste entrain de repenser le procédé, afin de laisser encore plus de place à l’inspiration.

L’année 2015 sera une année inspirante, vous l’aurez compris, du moins c’est ce que je vise. Pour m’aider à planifier cette année et vous offrir des services répondant à vos besoins, je vous joints un sondage à remplir (cela ne prendra que quelques minutes).

Lien vers le formulaire

Je vous remercie de prendre le temps de le remplir.

A bientôt

Ozalee.

Les Graines de la Vie – Conte

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Je vous partage un conte que j’ai découvert au cours de mes pérégrinations sur internet. La source est malheureusement inconnue, mais j’espère que le message de ce conte vous touchera comme il m’a touché.

Bonne lecture.

Ozalee

 

Visitant un pays lointain, un voyageur passa devant une échope sur laquelle
était inscrit « Boutique du Bon Dieu ».
Avisant un passant, il lui demanda ce qu’on vendait dans cette boutique.
Étonné, le passant lui dit qu’il trouverait Dieu lui-même derrière le
comptoir, qu’il pouvait lui demander tout ce qu’il désirait et que cela lui
serait accordé.
Intrigué, le voyageur pénétra dans l’échope. Un homme souriant l’accueillit
et lui demanda ce qu’il désirait. On m’a dit, répondit le voyageur, avec un
ton dubitatif, que Dieu lui-même tenait cette boutique et que je pouvais
lui demander tout ce que je désirais.
C’est exact, répondit l’homme derrière le comptoir. Je suis Dieu. Que
désirez-vous ?
Quelque peu intimidé, le voyageur se ressaisit.Puisque vous me proposez

cela, je désirerais, pour moi et pour tous ceux que j’aime, la prospérité, le
bonheur, la sagesse, la… »
À ce moment, Dieu l’interrompit :On vous a mal renseigné. Ce ne sont pas

des fruits que je vends, ce sont des graines