Etre honnête avec soi-même

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Être au net avec soi. C’est faire la part des choses. C’est ressentir au fond de soi ce que l’on veut ou non. C’est accepter que son prochain ne nous voit pas tel que l’on est. Rester intègre avec soi-même. Ca demande à se distancer du regard des autres. A se libérer des mauvaises pensées. De la culpabilité. De tout ce qui nous rend moins grand.

Être au net avec soi, c’est dire la vérité. Ne plus mentir, car aucune cause ne mérite qu’on se poignarde. Ne plus mentir, car personne ne mérite qu’on se manque de respect.

Être au net avec soi, c’est se prendre la main et se faire confiance. C’est aider les nuages à se dissiper, et le soleil à briller. C’est le premier pas pour se valoriser, car nous valons de l’or.

Être honnête, c’est être sincère. C’est être au sein de l’ère, faire partie du Tout.

A ces actions que vous faîtes et qui vous tracassent la tête

A ces mots que vous dites et qui vous étouffent le cœur

Offrez leur vos adieux

N’oubliez pas, être honnête, c’est être au clair avec soi-même.

Permettez à cette eau claire de circuler dans le monde…ensemble nous retournerons à la source.

 

Ozalee

Le principe du vide

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Certains d’entre vous doivent déjà connaitre ce principe de Joseph Newton.

Que vous le connaissiez ou non, je vous invite à visionner cette vidéo vous le décrivant avec de magnifiques photographies.

Quelques minutes pour s’interroger: suis-je de ceux qui gardent ou de ceux qui laissent circuler?

Bon visionnage 🙂

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Ozalee

 

 

Le masculin rencontre le féminin

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« Il y a des mois que je marchais. Mon guide ne parlait pas ma langue et je ne parlais pas la sienne. Notre communication était faite de gestes, de sourires, de naturels. Le soleil avait brûlé depuis longtemps ma peau pâle et mon regard s’était pacifié face à la beauté des paysages. Chaque homme devrait pouvoir entreprendre un voyage comme celui-ci. Un voyage de l’âme, au delà du corps et de toutes fausses pensées. Je n’étais plus l’homme de mon passé. Je le sentais dans mes tripes. A chaque fois que je portais de la nourriture à mes lèvres. A chaque fois que je fermais les yeux avec comme veilleuse la lune et ses danseuses les étoiles.

J’avais perdu la notion du temps. Je ne connaissais pas même la direction où nous allions. A dire vrai, c’était la première fois de ma vie où je me sentais libre. Libre d’être moi-même. Cet inconnu qui n’osait pas se rencontrer. Je le fais quasiment à chaque pas à présent. Et peut-être est-ce pour cela que nous croisâmes la route de la femme. Mon guide la nomma Pôgan. Je ne savais pas ce que cela signifiait. Mes oreilles ne savaient pas entendre, mais mes yeux savaient voir. Sa silhouette était aérienne et ses hanches appelaient pourtant un foyer. Sa tenue était simple et pourtant je m’émerveillais face aux plumes qui bougeaient avec elle. Sa danse était une démarche vers un autre monde que mes yeux ne faisaient que frôler. Son sourire ne m’appartenait pas, elle était enfant des étoiles. Ses yeux étaient rieurs et pleins de sagesse, rappel des traditions anciennes que je méconnais. Tous ses gestes étaient une offrande à la terre. Tous ses chants une promesse d’un monde meilleur. Je ne me lassais pas de la voir évoluer sur cette terre qui est sienne. Je ne me lassais pas de la voir prendre sa place dans le monde et célébrer la vie.

Je repris la route sans réponse mais avec un présent bien plus précieux : celui qu’en chaque femme réside la paix.

Le temps se confondit encore et encore. L’homme en moi devint pôgan. Je ne voulais plus me battre. Je ne voulais plus de guerre. Je voulais la paix.

J’appris à aimer une femme. Elle apprit à aimer un homme.

Ensemble nous comprîmes alors ce que signifie pôgan.

Ensemble, nous formons le couple sacré. »

Ozalee – Farah Sahbi

TOUS DROITS RÉSERVÉS. Merci de mettre la source quand vous partagez : https://alchimiedesmots.wordpress.com/2014/07/22/le-masculin-rencontre-le-feminin/

Ceci est une création personnelle (pour le texte) Image internet.

Vers l’inconnu

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Vous aussi vous vous sentez l’âme d’un aventurier de la vie mais vous n’osez pas faire le premier pas ? Vous hésitez, vous n’êtes pas sûr, est-ce vraiment ce que vous avez envie de faire ? Peut-être n’est-ce qu’une lubie, une idée en l’air, mais rien de bien sérieux ? Alors pourquoi ne pas le faire ? Pourquoi avons-nous la tangente inverse qui nous pousse à rester cloîtrer chez nous à attendre que le temps passe ?

 

Nous avons tous des résistances, ces sensations qui nous empêchent d’avancer pour mille raisons qui paraissent valables. Mais d’où nous viennent-elles ? J’avoue ne pas avoir la réponse, ou alors trop de réponses, tout ça pour dire que peu importe. Ce qui compte c’est en prendre conscience afin de se donner l’opportunité d’avancer. Se rendre disponible aux nouvelles expériences de la vie afin d’avancer sur le chemin qui se dessine peu à peu. Car oui, tout n’est pas tracé d’avance, alors chacune de nos actions a une importance toute relative qui nous permettra de dessiner plus ou moins rapidement ce chemin. Nous sommes libres de notre chemin, même si cette liberté peut faire peur au point qu’on ne veut pas voir au delà de la montagne.

 

L’un connu. Est-il si mal connu ? Je vous le demande tout en me le demandant. C’est fou de remarquer comme on a du mal à faire de nouvelles choses car justement elles sont inconnues. Mais si au final, aller vers l’inconnu revenait à aller vers l’unité. Vers ce que nous connaissons car c’est de là dont on vient tous. Finalement, faire confiance au monde c’est s’offrir l’opportunité d’avancer vers notre moi profond.

 

L’aventure vous tente ? Je suis sûre que c’est le cas si vous lisez ces lignes. Tout est à portée de choix…et n’oubliez pas que parfois, ne pas prendre de décision, c’est en prendre une aux yeux de l’univers…

 

Osez aller vers l’un connu.

 

Pour ma part, j’ose aller…et vous ?

 

Ozalee.

 

 

Massage ayurvédique : Abhyanga

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La première fois que j’ai reçu le massage abhyanga, je me suis sentie humaine. Non pas mon identité qui va s’accompagner de mon travail, de mes relations, de mes passions, mais humblement humaine. C’est un massage qui vous ramène à notre origine commune, à cette simple définition d’homme et de femme, et plus largement encore d’humains.

Le massage se déroule dans une pièce chaude, sur une table de massage chaude, avec de l’huile chaude. Cette dernière est choisie en fonction de votre dosha (au nombre de trois, ceux sont les principes permettant l’équilibre dans le corps humain) et la massothérapeute se charge d’en mettre sur votre corps au fur et à mesure de ses mouvements très amples, presque comme les mouvements d’une danseuse. Le massage commence assis, et cela fait un bien fou de se faire masser le dos dans cette position. Cela m’a rappelé le temps où j’étais enfant et que ma mère me lavait, debout dans la baignoire. Une sensation de protection, d’abandon fort que je n’avais jamais ressenti auparavant dans d’autres massages à l’huile. Il est évident, pour moi, que l’abhyanga amène une reconnexion à soi.

Je prenais conscience de la moindre partie de mon corps, jusqu’au bout de mes orteils, je sentais l’énergie circuler , le corps se détendre et mon esprit avec lui.

Suite au massage, il est préférable de ne pas se doucher afin que l’huile continue à pénétrer la peau et à produire son effet. C’est ce que j’ai fais. Je ne me suis pas douchée et j’ai vécu une journée où la moindre pensée m’était impossible. Je me sentais bien, stone comme je ne l’ai jamais été. J’étais une humaine, dans son corps, dans le présent.

C’était le premier massage ayurvédique que je recevais et cela m’a tellement plut, que je me suis formée au massage du corps au bol kansu. Car oui, je suis massothérapeute, mais j’en parlerai davantage dans un autre sujet.

Pour les curieux, voici ma page facebook. Pour ceux qui sont sur Montréal, il y a même des promotions spécial été, alors soyez attentif.

J’espère vous avoir donné le goût d’essayer…et pour ceux qui connaissent, n’hésitez pas à faire part de votre expérience.

Ozalee.

L’alchimie, le monde, tout ça…

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J’avoue, 2h de vidéos c’est long…mais à regarder au moins une fois, même par petits bouts et vous sentirez une différence.

Vous trouverez une vidéo de Patrick Burensteinas, alchimiste de son état, créateur de la trame (technique de guérison).

Je trouve ses paroles pleines d’un gros bon sens, mais également de cette langue des oiseaux que j’affectionne tant.

Bon visionnage aux plus courageux 😉

Quand mon cœur s’est éveillé

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Il y a des moments dans la vie où l’on pense se connaitre. On pense que les choses s’écoulent comme elles le font car c’est ainsi, c’est le courant de la vie.

Puis il y a une expérience, une rencontre, un événement qui vous fait prendre conscience que vous n’étiez pas vous-même.

J’ai eu la chance de me réveiller pour ma part. J’ai eu la chance de sentir mon cœur reprendre vie. Non pas celui physique, bien sûr, mais celui qui régit mes émotions et tout ce qui touche à la créativité. Mon cœur était enfermé depuis plusieurs années de peur de souffrir. Mais quand on a peur de souffrir, on ne vit plus. Ce fut ma prise de conscience. Bien qu’elle n’était rien face à la sensation de vivre à nouveau.

Mon esprit était doué pour trouver des excuses sur ce qui n’allait pas dans ma vie. Notamment le « ça doit être pareil pour tout le monde ». On rentre dans la norme, on s’y enferme, on s’y sent en sécurité…On se laisse dériver sans le remarquer.

Mais quand votre coeur s’éveille, il vous fait prendre conscience de ce qui a de l’importance pour vous. Il remet en place vos fondements, repriorise tous les domaines de votre vie. Je me suis rendue compte que ma relation de couple est importante pour moi. Que c’est l’un de mes piliers de vie, non pas la relation, mais bel et bien la magnifique personne avec qui je partage ma vie. Maintenant, je pense à mon travail en tant qu’indépendante, mais je pense encore plus à l’homme que j’aime.

Je vous dis tout cela avec assurance et sourire, mais il y a encore quelques mois il n’en était rien. J’étais confuse à penser à ma carrière professionnelle en oubliant ce qui comptait avant tout. Parfois, on perd de vue notre cœur…on n’en a pas conscience, c’est totalement subtile, inconscient…Mais quand le Cœur reprend ses droits, c’est comme une belle inspiration après avoir retenu son souffle trop longtemps!

Je vous souhaite à tous d’être en connexion à vous-même. Mais si vous vous perdez de vue, comme cela m’est arrivé, je vous souhaite de vivre une expérience – comme cela a été mon cas – qui vous permette d’ouvrir votre cœur à nouveau. Nous le valons tous.

Ozalee.